Look up! In the pure Buddha realms,
How he dwells as the sugata and his heirs
Blazing with a mass of brilliant marks and signs
His speech pours forth the self-arising nectar of holy Dharma.
Look down! In the six realms of sentient beings,
Their minds relentlessly ride the stallion of karmic wind,
Speech willowing with words of self-praise and criticism of others,
unaware that body has become mind's slave.
Look there! How inconstant are bewildered appearances,
Sometimes various pleasures cannot satisfy,
sometimes a single sweet word is enough.
Ahoye! The meaningless childplay of mental phenomena.
Look here! In the face of self-arising mind itself,
It is empty, doesn't take sides.
It is appearance, doesn't break into parts.
It is like union, but free of fixation.
Thus the wayward prince intrinsic awareness is recalled.
Regarde en haut! Dans les terres pures des Bouddhas.
Comment il réside, Sugata avec ses héritiers,
Flamboyant avec une masse de marques et signes brillants.
Sa parole répand le nectar du saint Dharma apparaissant de lui-même.
Regarde en bas! Dans les six royaumes des êtres sensibles.
Leur esprit chevauche sans cesse l'étalon du vent karmique.
La parole résonnant de mots où ils se glorifient et critiquent les autres,
Inconscients que le corps est devenu l'esclave de l'esprit.
Regarde là! Comme les apparences déroutantes sont inconstantes,
Parfois des plaisirs variés ne peuvent nous satisfaire,
Parfois une seule parole douce suffit.
Ahoye! Le jeu puéril insensé des phénomènes mentaux.
Regarde ici! Le visage même de l'esprit survenant de lui-même;
Il est vide, n'a pas de cotés;
Il est apparence, il ne se disloque pas.
C'est comme l'union, mais sans aucune fixation.
Ainsi se remémore-t-on du prince rebelle de la conscience intrinsèque.
Composed suddenly by Kunzang Pema Namgyal, the 9th Gangteng Tulku.
Blazing with a mass of brilliant marks and signs
His speech pours forth the self-arising nectar of holy Dharma.
Look down! In the six realms of sentient beings,
Their minds relentlessly ride the stallion of karmic wind,
Speech willowing with words of self-praise and criticism of others,
unaware that body has become mind's slave.
Look there! How inconstant are bewildered appearances,
Sometimes various pleasures cannot satisfy,
sometimes a single sweet word is enough.
Ahoye! The meaningless childplay of mental phenomena.
Look here! In the face of self-arising mind itself,
It is empty, doesn't take sides.
It is appearance, doesn't break into parts.
It is like union, but free of fixation.
Thus the wayward prince intrinsic awareness is recalled.
Regarde en haut! Dans les terres pures des Bouddhas.
Comment il réside, Sugata avec ses héritiers,
Flamboyant avec une masse de marques et signes brillants.
Sa parole répand le nectar du saint Dharma apparaissant de lui-même.
Regarde en bas! Dans les six royaumes des êtres sensibles.
Leur esprit chevauche sans cesse l'étalon du vent karmique.
La parole résonnant de mots où ils se glorifient et critiquent les autres,
Inconscients que le corps est devenu l'esclave de l'esprit.
Regarde là! Comme les apparences déroutantes sont inconstantes,
Parfois des plaisirs variés ne peuvent nous satisfaire,
Parfois une seule parole douce suffit.
Ahoye! Le jeu puéril insensé des phénomènes mentaux.
Regarde ici! Le visage même de l'esprit survenant de lui-même;
Il est vide, n'a pas de cotés;
Il est apparence, il ne se disloque pas.
C'est comme l'union, mais sans aucune fixation.
Ainsi se remémore-t-on du prince rebelle de la conscience intrinsèque.
Composed suddenly by Kunzang Pema Namgyal, the 9th Gangteng Tulku.
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