It’s not impermanence per se, or even knowing we’re going to die, that is the cause of our suffering, the Buddha taught. Rather, it’s our resistance to the fundamental uncertainty of our situation. Our discomfort arises from all of our efforts to put ground under our feet, to realize our dream of constant okayness. When we resist change, it’s called suffering. But when we can completely let go and not struggle against it, when we can embrace the groundlessness of our situation and relax into its dynamic quality, that’s called enlightenment, or awakening to our true nature, to our fundamental goodness. Another word for that is freedom — freedom from struggling against the fundamental ambiguity of being human.
Le Bouddha a enseigné que ce n'est pas l'impermanence en elle-même, ou même le fait de savoir que nous allons mourir qui est la cause de la souffrance. C'est plutôt notre résistance à l'incertitude fondamentale de notre situation. Notre inconfort apparaît de tous nos efforts pour mettre un sol sous nos pieds, pour réaliser notre rêve de bonheur constant. Lorsque nous résistons au changement, on appelle cela souffrance. Mais lorsque nous pouvons totalement lâcher prise et ne pas lutter contre, lorsque nous pouvons appréhender l'absence de solidité de notre situation et nous détendre dans sa qualité dynamique, on appelle cela l'éveil, ou s'éveiller à notre vraie nature, à notre bonté fondamentale. Un autre mot qui exprime cela est liberté - liberté d'avec la lutte contre l'ambiguité fondamentale d'être humain.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire